mardi 27 mai 2014

Un gratte-ciel fait monter la température à Londres

 
 
 
Un gratte-ciel en cours de construction dans le quartier d'affaire de Londres suscite la curiosité des passants : sa façade incurvée reflète les rayons au point de causer des pics de chaleur impressionnants dans la rue. Une Jaguar noire a récemment vu sa peinture noire s'effriter !
Un immeuble peut-il faire fondre une voiture ? Le romancier le plus loufoque aurait-il hésité devant une idée si loufoque ? La presse anglaise puis internationale s'est depuis emparée de ce fait en tout point extravagant. De cet immeuble aux îlots urbains, le réchauffement climatique aura encore frappé...

 
 
L'immeuble en question, en cours de construction au 20 Fenchurch Street, est surnommé le Talkie Walkie, sa forme incurvée rappelant en effet celle de l'objet. Sa façade en verre répercute les rayons, ce qui, en temps normal, ne cause pas trop de soucis. Or, le soleil étant très présent sur Londres cet été, le gratte-ciel, outre le fait d'éblouir les gens, se met à brûler voitures et autres moquettes sur lesquels les rayons très puissants s'attardent.
 
 
Martin Lindsay, un automobiliste londonien qui avait garé sa Jaguar pendant une heure au pied de l'immeuble le jeudi 29 août, a eu la désagréable surprise de découvrir sa voiture... métamorphosée : une partie de son rétroviseur et de sa carrosserie avaient fondu ! Pour éviter toute polémique, les constructeurs de l'immeuble ont remboursé le propriétaire de la Jaguar et la mairie de Londres a interdit le stationnement dans la rue.

samedi 24 mai 2014

La Pollution, une affaire mondiale

 
 
La Pollution, une affaire mondiale
 
 
 
 
Dorénavant, les médias relatent quotidiennement les problèmes environnementaux. Les occasions sont malheureusement devenues multiples et la pollution atmosphérique s'impose comme un sujet qui touche de plus en plus les citoyens. Car la pollution n'est pas seulement une gêne visuelle ou olfactive mais désormais le principal risque environnemental pour la santé dans le monde. En effet, elle cause en moyenne chaque année la mort prématurée de 7 millions de personnes dans le monde dont 600 000 en Europe et 40 000 en France, selon l'Organisation Mondiale de la Santé et le Ministère du Développement Durable.

A ce titre, les alertes sont nombreuses comme en témoigne la presse : "En Île-de-France AIRPARIF recommande aux personnes à risques (jeunes enfants, personnes asthmatiques ou allergiques, insuffisants respiratoires chroniques, personnes âgées... ) d'éviter toute activité physique intense et de respecter scrupuleusement les traitements médicaux en cours" (AFP) ; "La pollution atmosphérique s'est aggravée en Île-de-France : Tous les éléments étaient conjugués pour que des pics de pollution atmosphérique soient à nouveau enregistrés (...) une météo défavorable, avec du soleil et un vent faible, une circulation routière très intense" (Le Monde) ; "Cet épisode de pollution aux PM10 (particules inférieures à 10 micromètres), poussières de compositions diverses (chauffage au bois et au fioul, industrie, moteurs surtout diesel en ville), est favorisé par des conditions anticycloniques et des nuits froides suivies de journées bien plus chaudes, ne permettant pas la dispersion des polluants.
Le niveau d'alerte est déclenché à partir d'une concentration moyenne quotidienne de PM10 de 80 microgrammes de particules par m3 d'air. Le seuil d'information, atteint à partir de 50 microgrammes par m3, a été dépassé dans une vingtaine d'autres départements..." (20 minutes) Ces extraits rendent compte des quatre composantes de la pollution atmosphérique : celle-ci est nuisible à la santé des personnes sensibles et vulnérables, les activités sportives leur sont déconseillées, elle se traduit par des "pics de pollution" lors de situations météorologiques anticycloniques, elle émane majoritairement du trafic routier. L'état de la qualité de l'air est donnée par le Réseau National des Associations Agréées pour la Surveillance de la Qualité de l'Air (ATMO).





 



L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) indique que près de 7 millions de personnes sont décédées prématurément en 2012 – une sur huit au niveau mondial – du fait de l’exposition à la pollution de l’air. Ces chiffres représentent plus du double des estimations précédentes et confirment que la pollution de l’air est désormais le principal risque environnemental pour la santé dans le monde. On pourrait sauver des millions de vies en luttant contre la pollution de l’air.
Maladies cardio-vasculaires, AVC et cancer
Les nouvelles données mettent en évidence en particulier un lien plus fort entre la pollution de l’air à l’intérieur des habitations et de l’air l’extérieur et les maladies cardio-vasculaires comme les accidents vasculaires cérébraux et les cardiopathies ischémiques, ainsi qu’entre la pollution de l’air et le cancer. Cela vient s’ajouter au rôle de la pollution de l’air dans l’apparition de maladies respiratoires et notamment d’infections respiratoires aiguës et de bronchopneumopathies


Les nouvelles estimations ne reposent pas uniquement sur une meilleure connaissance des maladies provoquées par la pollution atmosphérique mais aussi sur une meilleure évaluation de l’exposition humaine aux polluants présents dans l’air grâce à l’utilisation de mesures et de technologies améliorées. Cela a permis aux chercheurs de procéder à une analyse plus approfondie des risques sanitaires dans un éventail démographique plus large qui comprend désormais des zones rurales aussi bien que des zones urbaines.
Au niveau régional, les pays à revenu faible ou intermédiaire des Régions OMS de l’Asie du Sud-Est et du Pacifique occidental sont ceux qui ont enregistré la charge la plus lourde liée à la pollution de l’air en 2012, avec un total de 3,3 millions de décès prématurés liés à la pollution intérieure et 2,6 millions de décès prématurés liés à la pollution extérieure.
Prévenir des maladies non transmissibles
«Un air plus propre permet de prévenir des maladies non transmissibles et de réduire les risques chez les femmes et les groupes vulnérables, y compris les enfants et les personnes âgées», déclare le Dr Flavia Bustreo, Sous-Directeur général de l’OMS chargé de la santé de la famille, de la femme et de l’enfant. «Les femmes et les enfants pauvres paient un lourd tribut à la pollution de l’air intérieur, car ils passent plus de temps à la maison à respirer les fumées et la suie que dégagent les fourneaux à bois ou à charbon mal ventilés.»
«Un air plus propre permet de prévenir des maladies non transmissibles et de réduire les risques chez les femmes et les groupes vulnérables, y compris les enfants et les personnes âgées»
Dr Flavia Bustreo, Sous-Directeur général de l’OMS chargé de la santé de la famille, de la femme et de l’enfant
L’évaluation comporte une ventilation des décès attribués à ces maladies, indiquant que la grande majorité des décès liés à la pollution atmosphérique sont dus aux maladies cardiovasculaires, à savoir:
Décès dus à la pollution extérieure
40% – cardiopathies ischémiques;
40% – accident vasculaire cérébral;
11% – bronchopneumopathies chroniques obstructives (BPCO);
6% – cancer du poumon; et
3% – infections aiguës des voies respiratoires inférieures chez l’enfant.
Décès dus à la pollution intérieure
34% – accident vasculaire cérébral;
26% – cardiopathies ischémiques;
22% – bronchopneumopathies chroniques obstructives;
12% – infections aiguës des voies respiratoires inférieures chez l’enfant; et
6% – cancer du poumon.
Les nouvelles estimations reposent sur les données de mortalité les plus récentes établies par l’OMS pour 2012 ainsi que sur des données factuelles établissant les risques sanitaires dus à l’exposition à la pollution de l’air. Les estimations de l’exposition à la pollution extérieure dans différentes parties du monde ont été élaborées au moyen d’une nouvelle cartographie mondiale des données comportant des données obtenues par satellite, des mesures de surveillance au sol et des données sur les émissions polluantes à partir de sources clés, ainsi que sur une modélisation des déplacements de la pollution dans l’air.
Des risques plus importants qu’attendus
Pour le Dr Maria Neira, Directeur du Département OMS Santé publique, déterminants sociaux et environnementaux de la santé, «les risques dus à la pollution de l’air sont désormais plus importants qu’on ne le pensait, en particulier en ce qui concerne les cardiopathies et les accidents vasculaires cérébraux. Peu de risques ont un impact supérieur sur la santé mondiale à l’heure actuelle que la pollution de l’air; les données factuelles indiquent la nécessité d’une action concertée pour rendre l’air que nous respirons plus propre.»
Après avoir analysé les facteurs de risque et pris en compte les révisions de la méthodologie, l’OMS estime que la pollution de l’air intérieur a été liée à 4,3 millions de décès prématurés en 2012 dans les ménages cuisinant sur des réchauds à charbon, à bois ou à combustibles de la biomasse. Les nouvelles estimations s’expliquent par une meilleure information sur les expositions à la pollution parmi les 2,9 milliards de personnes que l’on estime utiliser des réchauds rudimentaires, ainsi que par les données factuelles concernant le rôle de la pollution de l’air dans l’apparition des maladies cardiovasculaires et respiratoires, et des cancers.
Dans le cas de la pollution extérieure, l’OMS estime que 3,7 millions de décès prématurés ont été dus à des sources urbaines et rurales en 2012 dans le monde.
La conséquence de politiques non durables menées dans de multiples secteurs
De nombreuses personnes sont exposées à la fois à la pollution intérieure et extérieure. En raison de ce chevauchement, il ne suffit pas d’ajouter l’une à l’autre la mortalité attribuée à ces deux sources, d’où l’estimation totale d’environ 7 millions de décès prématurés en 2012.
«Une pollution atmosphérique excessive est souvent la conséquence des politiques non durables menées dans les secteurs comme le transport, l’énergie, la gestion des déchets et l’industrie. Dans bien des cas, des stratégies plus saines seraient également plus économiques à long terme en raison des économies en dépenses de santé, mais aussi des bénéfices pour le climat», affirme le Dr Carlos Dora, Coordonnateur OMS pour la santé publique et les déterminants sociaux et environnementaux de la santé. «L’OMS et le secteur de la santé ont un rôle unique à jouer en traduisant les données scientifiques sur la pollution de l’air en politiques susceptibles d’apporter des améliorations et de sauver des vies.»
La publication de ces données est un pas important sur la feuille de route de l’OMS pour la prévention des maladies liées à la pollution de l’air. Elle implique la mise en place d’une plate-forme mondiale hébergée par l’OMS sur la qualité de l’air et la santé afin de produire de meilleures données sur les maladies liées à la pollution de l’air et de fournir un appui renforcé aux pays et aux villes sous forme de recommandations, d’informations et de données factuelles concernant les bénéfices pour la santé des principales interventions recommandées.
Dans le courant de l’année, l’OMS publiera des lignes directrices sur la qualité de l’air intérieur en rapport avec les combustibles domestiques ainsi que des données de pays sur les expositions à la pollution intérieure et extérieure et la mortalité connexe, outre une actualisation des mesures de la qualité de l’air dans 1600 villes de toutes les régions du monde.





De nombreuses sources d'émissions Au final, les polluants émis sont très nombreux, il n'est pas possible de quantifier les émissions de tous les polluants, c'est pourquoi des "polluants-tests" ou "indicateurs" sont choisis pour caractériser la source. La pollution d'origine soufrée et particulaire due aux foyers fixes de combustion (chauffages collectifs et individuels, foyers de l'industrie) a notablement diminué ; cette décroissance résulte de plusieurs facteurs conjugués tels que la mise en place de réglementations particulières (ZPS), l'apparition de normes de plus en plus sévères, la modification de l'activité économique locale, l'utilisation croissante du gaz naturel et le développement du programme nucléaire de production d'électricité.
Ce qui explique donc une tendance à la diminution de la pollution de l'air urbain au moins pour les indicateurs classiques des émissions industrielles. Les épisodes ou pics de pollution : définition Le ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie, a publié le 26 mars 2014 un arrêté précisant les modalités de gestion des pics de pollution de l'air. Celui-ci précise notamment les caractéristiques d'un épisode de pollution susceptible d'entraîner des alertes et donc des mesures de restriction sur les activités polluantes.
Plusieurs critères permettent de définir un épisode de pollution : Superficie affectée par la pollution Dès lors qu'une surface d'au moins 100 km2 au total dans une région est concernée par un dépassement de seuils d'ozone, de dioxyde d'azote et/ou de particules PM10 estimé par modélisation en situation de fond Population affectée par la pollution.





 

Pour les départements de plus de 500 000 habitants, lorsqu'au moins 10 % de la population du département sont concernés par un dépassement de seuils d'ozone, de dioxyde d'azote et/ou de particules PM10 estimé par modélisation en situation de fond ; pour les départements de moins de 500 000 habitants, lorsqu'au moins une population de 50 000 habitants au total dans le département est concernée par un dépassement de seuils d'ozone, de dioxyde d'azote et/ou de particules PM10 estimé par modélisation en situation de fond ; Critères géographiques En considérant les situations locales particulières portant sur un territoire plus limité, notamment les vallées encaissées ou mal ventilées, les zones de résidence à proximité de voiries à fort trafic, les bassins industriels. En l'absence de modélisation de la qualité de l'air, un épisode de pollution peut être caractérisé par constat d'une mesure de dépassement d'un seuil sur au moins une station de fond.
La pollution qu'elle qu'en soit l'origine est nuisible à la santé humaine. Il est bon de se poser sur ce problème mondiale. L'écologie n'a pas besoin du réchauffement climatique pour s'affirmer. L'écologie passe par les éléments de notre planète beaucoup plus seins pour que l'humanité puisse y gagner au niveau de sa santé. Les pays en voie de développement comme les pays industrialisés doivent comprendre et agir pour un meilleur futur pour nos enfants. Tout ceci doit être fait avec raison et au niveau mondial.
Sources et articles complet : http://www.notre-planete.info
http://www.frequenceterre.com/ et OMS
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 



 
 
 
 
 
 
 
 

 


dimanche 4 mai 2014

La Muraille de Chine, dite la Grande Muraille

 
 

Longueur de la Muraille de Chine et autres Caractéristiques

La muraille de Chine est le plus grand monument jamais construit par l’homme.
Cet ensemble de fortifications est constitué d’un mur fortifié de 5 à 7 mètres de large pour une hauteur variant de 5 à 17 mètres selon les portions.


 
 
 

Combien mesure la Muraille de Chine?

Cette question revient souvent et la réponse n’est pas si simple.
En 1990, une étude a estimé la longueur de la muraille de Chine à 6 700 km. C’est ce chiffre qui est le plus souvent mentionné.
En 2008, l’Agence d’Etat du Patrimoine Culturel Chinois avait réestimé la longueur de la Grande Muraille à 8 850 km, incluant les murs, les tranchées et les barrières naturelles telles que les montagnes ou rivières.
Une récente enquête de 2012 réalisée par la même Agence d’Etat, a évalué la longueur originale de la muraille de Chine à 21 196 km! Cette distance comprend les tronçons ayant complètement disparus et où seules les fondations existent encore. D’après l’agence, les parties de la muraille actuelle en bon état ne représentent que 8,2% de la muraille construite sous la dynastie Ming.

La Muraille de Chine, Vue de la Lune

La croyance populaire veut que cette immense construction qu’est la muraille de chine, soit visible depuis la lune. Or, n’étant pas plus large qu’une autoroute, il est impossible de la voir à l’œil nu depuis la lune.

Mais la muraille de Chine vue de l’espace, mythe ou réalité?

Par contre, si la question est de savoir si la Grande Muraille de Chine peut être vue de l’espace, il semblerait que la réponse soit OUI.
En 2004, l’astronaute américain Leroy Chiao a rapporté , pris à 370km d’altitude, où l’on peut deviner la Grande Muraille.

 
 
Leroy Chiao avoue cependant ne pas avoir été capable de reconnaître la muraille au moment où il a pris cette photo. Mais avec des conditions climatiques favorables et un soleil rasant, la muraille de Chine et son ombre seraient visibles depuis l’espace.
A cette distance de la Terre, la muraille n’est pas le seul monument identifiable. Leroy Chiao a notamment pu observer durant la même mission, les pyramides d’Egypte.
Pour vous faire une idée de la muraille de Chine en vue aérienne, rendez-vous sur Google Earth. Dans le formulaire de recherche, tapez: “Badaling, Pékin, Chine”. Puis activez le zoom arrière. A quel moment la muraille de Chine disparaît?

Histoire de la Grande Muraille de Chine

La construction de la muraille de Chine s’étale sur près de 2 millénaires. Débutée au IIIème siècle av. JC, sous la dynastie des Qin, elle prit son apparence actuelle après le grand projet de remaniement entrepris sous la dynastie des Ming (1368-1644).

Le Projet fou d’une Grande Muraille sous la dynastie Qin

La dynastie des Qin fut la première dynastie chinoise. Son empereur, Shi Huangdi, unifiat les différents royaumes indépendant pour créer la Chine.
Chaque royaume avait construit des pans de muraille pour se protéger des invasions barbares. L’empereur entrepris l’immense projet de relier tous les tronçons pour créer une immense fortification.
A cette époque, la muraille était faite d’une superposition de couches de terre damée.
Le pénible travail de construction exigea la participation de centaines de milliers d’ouvriers, dirigés par le Général Meng Tian.
180 millions de mètres cube de terre aurait été nécessaires à la construction de la Grande Muraille.
Selon la légende, les corps des ouvriers morts à la tâche auraient également servis de remblai. Pour certains, ceci n’est qu’une légende et les corps auraient été enterrés aux alentours de la muraille…
La légende populaire chinoise de Meng Jiangnü, participa à entretenir cette croyance. En effet, cette célèbre légende chinoise raconte l’histoire d’une femme dont le mari mourut d’épuisement à la construction de la Grande Muraille. Et cette histoire populaire raconte que le corps de son mari fut enseveli dans le cœur de la muraille…

La Muraille de Chine et la Route de la Soie

Les premiers empereurs de la dynastie suivante, la dynastie des Hans, abandonnèrent l’entretien de la Grande Muraille, préférant négocier avec les envahisseurs du Nord en leur offrant des filles plutôt que de se battre.
Mais l’empereur Wudi relança la construction de la muraille ; d’une part pour repousser les nomades du nord et d’autre part pour favoriser le commerce et développer la route de la soie!
Au final, au cours de son histoire, la muraille de Chine servit d’avantage de route pour le transport des hommes et des marchandises que de fortification défensive. En effet, malgré sa taille et sa robustesse, les gardes étaient corruptibles, et la muraille ne réussit pas toujours à contenir les envahisseurs!







 

La Dynastie des Ming, les bâtisseurs de la Grande Muraille

Ce n’est véritablement que sous la dynastie Ming que la muraille de Chine prit sa forme actuelle.
En 1569, la construction de la Grande Muraille repris.
Le projet colossal supervisé par le général Qiji Guang consistait à recouvrir la muraille des Qin de briques et de dalles de pierre.


Tourisme

Suite à l’engouement des touristes pour cette impressionnante construction, le gouvernement chinois lança la restauration de certains tronçons de la Grande Muraille.
Cette dernière fut considérablement endommagée pendant ses années d’abandon. Ses briques et ses pierres servirent à la construction de maisons et de routes et même son cœur de terre fut utilisé par des paysans pour enrichir leurs champs.
Aujourd’hui, c’est la venue massive de touristes qui met la muraille en péril. Certains aménagements, comme des téléphériques, ont été construits pour accueillir les touristes, sans chercher à préserver ce patrimoine historique.
Depuis 1987, la muraille de Chine est classée au patrimoine mondial de l’UNESCO et a été nommée comme l’une des « Sept nouvelles merveilles du monde » en 2007.

Témoignage d’une Touriste émerveillée

Hélène, touriste française, découvrit la Grande Muraille en mai 2012 lors d’un séjour de 3 semaines en Chine. Elle partage avec nous son journal de bord et ses impressions face à ce monument grandiose.
 
 
 
 
 
La fin de notre séjour approche et aujourd’hui c’est la visite de la Grande Muraille! La veille, nous avons décidé de nous rendre sur le site de Mutianyu qui est un peu moins touristique que les autres. Une fois arrivé à la station de bus, nous voilà parti pour 2h de trajet! Malgré un anglais très approximatif, nous comprenons que le chauffeur nous attendra sur place et repartira vers 15h.
Nous arrivons enfin au pieds de la montagne et là, deux options s’offrent à nous : monter en téléphérique ou à pieds. Après HuaShan (une autre aventure….!), plus rien de nous fait peur! On monte à pieds!
Encore des marches! Pas grave, il parait que ça muscle les fesses ! L’effort est soutenu mais au final, ça vaut vraiment la coup : en haut, un spectacle magnifique se dévoile devant nos yeux. La Muraille se dessine à perte de vue tout en suivant les courbes irrégulières de la montagne, entourée de paysages splendides. On arpente les pavés, en songeant aux siècles passés et à tous ces hommes qui ont foulés avant nous cette ligne de séparation. Le soleil est au rendez vous et les jeux d’ombres qu’il nous offre nous semble irréels.
Nous arrivons à la limite de la partie restaurée du site. Un spectacle encore plus incroyable nous attend : là où l’homme a voulu laisser son empreinte, la nature nous montre qu’elle sera toujours présente et qu’elle reprendra sa place quelque soit le nombre d’année à attendre. Les arbres et la végétation enrobent lentement les murs et couloirs du reste de la Muraille, très loin, jusqu’au détour de la montagne. Un très beau moment de réflexion et méditation, là où l’homme et la nature ont choisi un jour de se rencontrer et où aujourd’hui, règne un silence presque majestueux. Des images qui resteront dans nos têtes pour très longtemps!
Nous faisons demi tour et amorçons notre retour lorsqu’une légère brise nous frôle les épaules, comme pour nous demander de nous retourner une dernière fois, juste pour être sûr qu’on n’oubliera pas.”


         D'après le récit de Margaux Corbin.




Les impitoyables pièges de deux plantes carnivores

 
 
 
Une nouvelle vidéo dévoile des images inédites de deux espèces de plantes carnivores en action : la dionée attrape-mouche (Dionaea muscipula) et la Drosera capensis.




Dans son dernier court métrage, le photographe et réalisateur de documentaires australien Francis Chee dévoile sous un angle inédit le monde passionnant des plantes carnivores. De part leur organisme extrêmement spécialisé, ces végétaux sont capables d’attirer, capturer et assimiler des insectes ou autres petits invertébrés pour subvenir à leurs besoins.
La grande famille des plantes carnivores est extrêmement diversifiée. Elle regroupe à l’heure actuelle plus de 500 espèces décrites par les botanistes. Même si ces spécimens sont tous des piégeurs d’insectes, la manière de capturer leurs proies varie d’une espèce à une autre. On distingue ainsi celles aux pièges dits "actifs", présentant une certaines mobilité, et celles aux pièges considérés "passifs" dont l’organisme reste complètement immobile.La vidéo réalisée par Francis Chee et diffusée sur internet présente deux spécimens de plantes carnivores aux pièges actifs : la dionée attrape-mouche (Dionaea muscipula) et la Drosera capensis, une plante carnivore endémique des marais d’Afrique du Sud.Des pièges redoutables La dionée attrape-mouche est sans doute la plante carnivore la plus connue à ce jour. Ses pièges à mâchoires largement étudiés, sont réputés pour dégager une odeur qui attire les insectes. Lorsque l’un d’entre eux se pose sur la structure, il stimule de manière consécutive les poils sensitifs de la plante et provoque la fermeture de cette sorte de mâchoire en quelques secondes. Un piège duquel la plupart des insectes n'arrive pas à s'échapper à temps. La proie ainsi emprisonnée se retrouve ensuite digérée par les enzymes de la plante. 

Drosera capensis présente quant à elle un système différente. Il s'agit de pièges à mucilage au sein desquels les insectes sont capturés au moyen de gouttelettes adhésives. Une fois la proie engluée, la feuille s'enroule autour d'elle afin de l'immobiliser. Cela permet davantage de contact avec les glandes digestives de la plante. Ce mouvement, normalement difficile à percevoir à l’œil nu transparait très clairement dans la vidéo grâce à la dextérité de son réalisateur. La séquence présente les dernières secondes d’existence de ces insectes pris au piège. On peut les voir se débattre pour leur survie tandis que l’étreinte de leurs prédateurs végétaux se referme inexorablement sur eux. Des scènes aussi fascinantes que terrifiantes.

vendredi 2 mai 2014

Ils ont creusé vers l'Enfer en Russie en 1989







Newspaper cutting

S'il y a vraiment un Enfer, où croyez vous que les pécheurs qui ne repentent pas vont ? Croyez-vous que YAHUVEH les laisserait aller au Royaume des Cieux ?
[Notez s'il vous plait, Il y a eu beaucoup de débats si ceci est vrai ou non. Nous ne disons pas si c'est vrai ou non, mais nous sentons que c'est assez important pour être mis en ligne et laisser vous, le lecteur, décider.]

Ces détails viennent de la traduction d'un article dans un journal finlandais appelé 'Ammennusatia'.

Un groupe de géologues après avoir foré un trou d'environ 14.4 kilomètres de profondeur dirent qu'ils ont entendu des cris humains. Les cris perçants des âmes condamnées de l'enfer. Les scientifiques terrifiés ont eu peur d'avoir lâché les forces maléfiques de l'enfer jusqu'à la surface de la terre. Cette rumeur a circulé sur Internet, preuves sonores à l'appui...

"Les informations que nous recelons sont tellement surprenantes, que nous avons sincèrement peur de ce que l'on pourrait trouver en bas," a dit le Dr Azzacov, le responsable en chef du projet dans la Sibérie déserte.

"Notre seconde surprise a été la température découverte dans le centre de la terre. Les calculs indiquent que la température qui y règne était d'environ , 1100 degrés Celsius, ou plus de 2,000 degrés Fahrenheit,' souligna le docteur Azzacov. C'est beaucoup plus que ce à quoi l'on s'attendait. "Il semblerait presque qu'une fournaise de feu brûlant fait rage dans le coeur de la terre. "

'La dernière découverte a néanmoins été la plus choquante à nos oreilles, au point que les scientifiques ont peur de continuer le projet. Nous avons essayé d'écouter les mouvements de la terre à certains intervalles de temps avec des microphones ultra-sensitifs qui ont été déposés dans des trous. Ce que nous avons entendu a fait de ces scientifiques rationnels des hommes complètement épouvantés qui tremblaient de peur. C'était un son très aigu que nous pensions venait de notre équipement," a expliqué le Docteur Azzacov.

Mais après quelques ajustements, nous nous sommes rendus compte que les bruits venaient de l'intérieur de la Terre. Nous étions stupéfaits. Nous avons entendu une voix humaine crier de douleur. Même si l'on pouvait discerner qu'une voix criait, nous pouvions en entendre des milliers, peut être même des millions, de cris d'âmes tourmentées crier. Après cette découverte effrayante, environ la moitié des scientifiques a abandonné le projet puisqu'ils avaient peur. J'espère que ce qui est en-bas y restera,' ajouta le Dr Azzacov.

Ce qui en réalité démonta les soviétiques, indépendamment des enregistrements de voix ( que le porte-parole du Ministère Soviétique écarta comme "déformations sonores géologiques" ), fut l'apparition la même nuit d'une source de gaz lumineuse jaillissant du lieu du forage, et du sein de cette colonne de nuage incandescent, un être étincelant, aux ailes de chauve-souris, qui se fit connaître avec ces mots ( en Russe ) : " J'ai vaincu (sens= je vous ai conquis ) " se détachant tel un blason sur la nuit du ciel sibérien. "

Cet événement était absolument irréel; les Soviétiques hurlaient de terreur. " dit Monsieur Nummedal. Plus tard cette nuit là, il vit des équipes ambulancières circulant dans le camp. Un chauffeur qu'il connaissait lui dit qu'on leur avait prescrit de calmer tout le monde avec un médicament connu pour effacer la mémoire à court terme. Les soviétiques utilisent ce remède dans le traitement de victimes de commotions.

* * * * * * *


" En tant que communiste je ne crois pas au ciel ou à la bible mais en tant que scientifique, je crois maintenant à l'enfer, " dit le docteur Azzacov. " Inutile de dire que nous étions bouleversés de faire une telle découverte. "Mais nous savons ce que nous avons vu et nous savons ce que nous avons entendu. et nous sommes absolument convaincus que nous avons perforé les portes de l'enfer!"

Le Dr Azzacov continua, "le trépan (mèche) s'est soudainement mis à pivoter à une vitesse folle, indiquant que nous avions atteint une large poche ou caverne vide. Les thermomètres ont tout à coup indiqué une hausse importante de la température lorsque celle-ci eut atteint 2000° farenheit.

Nous abaissâmes un microphone, conçu pour détecter les sons des déplacements de plaques au fond du puit."

"Mais au lieu de déplacement de plaques, nous entendîmes une voix humaine hurlant de douleur. Au début nous pensâmes que ce son venait de notre propre équipement. "

" Mais quand nous ajustâmes les réglages, nos pires soupçons se confirmèrent. Les hurlements n'étaient pas ceux d'un seul humain, ils étaient les hurlements de millions d'humains!"